X-men: The Road To Onslaught Volume 1
B**C
I love these collections of the 90s X Books
I love these collections of the 90s X Books, probably because its the era I grew up with to be fair, but its great fun to see the Jim Lee designs in action and all the ups and downs the x men went through in that period. As its the Road to Onslaught not all the plot threads are tied up in these books, for a fuller picture its worth grabbing the complete Onslaught books and the trial of Gambit which reveals the dark secret that's troubling Rogue and Gambit throughout these stories.I would say these stories are worth a read, they're from a time when X Men were Marvels most popular books and setting up long lasting mysteries was an annoying trend but the characters really shine through all the stories and its great to see a time when the X Men were unified and fighting the good fight.
B**E
La question de confiance !
Voilà la réédition essentielle à qui voudra comprendre la continuité des mutants en 1995.L’âge d’apocalypse (AOA) vient de se terminer et les mutants, à part Bishop, n’en ont aucun souvenir.La situation n’est guère brillante et Xmen Prime annonce la couleur: Wolverine perd son humanité, Charles Xavier doute, un mutant est lynché à l’entrée du manoir et le virus legacy attaque désormais les humains.A cela s’ajoutent les événements de l’époque : Gambit dans le coma, Rogue et Iceberg sur la route et une nouvelle race de terroristes morlocks.Ce volume compile enfin un récit de DeMatteis qui transforme M. Sinistre en vilain à l’aura romantique. Entendez par là qu’il condamne à la souffrance la femme qu’il aime.Le but de AOA était de montrer ce qu’un monde serait sans Xavier et ses Xmen !A bien des reprises, Bishop, Rachel, Cable avaient pointé à qui voudrait déserter la force armée de Charles Xavier à quel point leur présence faisait la différence dans le conflit Mutants / Humains.Ce qui saute aux yeux pour ceux qui ont bien connu cette époque, c’est la solidité des scenarii de Lobdell et Nicieza.On peut leur reprocher les soliloques grandiloquents des personnages, les solos en pleine bataille et une horde de vilains d’opérette: les acolytes, gene-nation et la bande de Genesis que tout le monde a oublié ( je ne parle pas de la clique de Phil Collins là !).Pourtant les deux disciples de Claremont font montre de leurs connaissances impeccables de la continuité, de la psychologie des personnages et de leur sens du rythme. Pour ceux qui vénèrent le passage de Claremont, il y a de quoi être au Nirvana. Des Subplots, de l’action, des débats et des scènes de vie quotidienne des Xmen.Tout mainstream fut cette licence, elle n’empêche pas une certaine profondeur. Car ce qui émerge de cette histoire, c’est l’incompétence des Xmen dépassés par la guerre raciale qu’ils tentent d’éviter.La réalité 616 rétablie après AOA vient cogner amèrement à la porte de nos amis. L’équipe qui abrite des puissances cosmiques est incapable d’empêcher la lapidation à mort devant chez elle d’un jeune homme pourchassé !Xavier voulait changer Sabretooth. Son orgueil l’a empêché de voir que Sabretooth l’avait changé, lui ! Il est fascinant de voir comment le mal d’un seul individu aura influé sur un homme bon et son équipe.Et lorsque les Xmen veulent se détendre en organisant un match de basse ball, les morlocks viennent leur rappeler qu’ils organisent leur sauterie le jour de l’anniversaire du Mutant Massacre ! Et Marrow de questionner la désinvolture avec laquelle Storm a assumé son leadership sur la communauté des mutants défigurés.Dans ce contexte qui croire ? Wolverine au bord de la folie ? Bishop déjà psychotique? Xavier en pleine dépression ? Gambit et son passé sinistre ? D’autre part les auteurs s’interrogent sur la nature du mal. Gambit a choisi le bien mais reste un criminel. Sabretooth est un psychopathe qui veut changer. Les deux mutants sont finalement rattrapés par leurs passés et leurs rédemption semble bien mal engagée.AOA avait également montré que dans d’autres circonstances, le destin et surtout les choix des Xmen faisaient d’eux l’exacte contrepartie de l’univers 616.Côté illustration que du beau monde: Andy Kubert mais aussi, JP Leon, Paul Smith et P Craig Russel. C’était également l’apogée du règne de Joe Madureira qui imprima sa marque avec le succès que l’on sait.A l’époque, le duo jouait avec les nerfs du public et sous entendait que le traître qui entraînerait la perte des Xmen pouvait être n’importe qui !Des indices disséminés montrent que les auteurs savaient pertinemment que Xavier allait craquer et que la mission qu’il s’était imposé était devenue trop lourde pour ses épaules. Pour éviter l’hystérie collective, Xavier répand de fausses informations à la TV sur le Legacy Virus mettant encore à mal sa déontologie.Bien entendu, pour ceux qui veulent débuter avec les Xmen, cet album pétri de continuité risque de les faire deserter les Xmen à tout jamais!Retrouvez l'intégralité de cette chronique sur mon blog : brucetringale.com
G**O
So far so good...
I'm currently making my way through every Uncanny X-Men issue ever (and a bunch of other related X-Men comics) and I've been told that the post Age of Apocalypse era is the worst. But with this collection, I'm not finding that to be true (yet).I like the consistency of alternating Uncanny and Adjectiveless X-Men issues with two creative teams. It's nice to see Lobdell and Madureira continue their partnership from Age of Apocalypse. And Nicieza and Kubert were always a good paring.Story wise this is back to basics in a sense, without any major overarching plot line just yet. The opening shows the destruction of Magneto's Avalon, which is done well, with some exciting action and good character drama as Colossus tries to save Magneto and Cyclops and Jean try to save Rusty and Skids from the old X-Factor days. After that, we get the return of the Morlocks, which might not sound super appealing but again is done well and gives Storm a strong issue or two when she had been on the backburner for a bit.There are two issues that focus on the romance between Angel and Psylocke and Rogue and Gambit. These are very soapy with just pages of "I love you" "How can you" "Don't leave me" "But I must." It's very boring and even more so from a modern perspective. We know Rogue and Gambit are a classic pair that will end up together. We know Angel and Psylocke are not.Overall this is more solid early to mid 90s X-Men, on par with the Claremont stuff. I know it is branded as "Road to Onslaught" but really it has very little to do with that just yet. People complaining about the unresolved plot threads by book's end have clearly never read X-Men comics before. Stuff like Juggernaut being punched out will resolve further down the line.
F**A
Book
Good story line.
A**R
Five Stars
great book
Trustpilot
1 day ago
2 days ago