Music for Lute

Very lovely playing indeed! Thanks!n morse

Wonderful music. I found Marco Dall Aquila's songs really charming. He doesn't always go for the easy melody, but there are lots of melodic motifs throughout that he plays on with a wandering spirit. Good recording and well played.

this is what i wanted

Excelente grabación y cuidada selección de piezas que nos introducen en el mundo del laúd barroco, instrumento sólido, melódico, con voz propia.

It is well played, very fine lute music.

Marco dall’Aquila est, comme Capirola, un luthiste de la génération intermédiaire entre celle qui s’illustre dans les publications vénitiennes de Petrucci à partir de 1507 et celle de Francesco da Milano (1497-1543), dont les fantaisies et ricercars serviront de modèle « classique » jusqu’à la fin du siècle. Sa redécouverte est plus lente que celle d’autres luthistes du primo cinquecento. Avant celui qui nous occupe, deux CD seulement lui ont été entièrement consacrés. Le premier, par le regretté Maurizio Pratola, luthiste et gambiste de notoriété modeste, n’a jamais été vraiment diffusé, et l’autre, par Paul O’Dette, a été massacré par une prise de son calamiteuse. Heureusement que pour entendre Marco, nous avions deux CD anthologiques d’excellente facture : dans les années 90, O’Dette, déjà lui, l’avait associé à Francesco da Milano, Albert de Rippe et Pietro Paolo Borrono dans un récital paru chez Harmonia Mundi (Dolcissima et Amorosa, réédité sous le titre Lute Music, Volume 2), alors que chez Naxos, Christopher Wilson préférait le confronter au méconnu Giovanni Maria da Crema. Deux enregistrements que je recommande chaleureusement.Le CD de Sandro Volta publié voici quelques mois par Brilliant Classics vient donc combler une lacune, mais on est malheureusement loin de l’interprétation dont on rêvait, le jeu du luthiste étant très éloigné de l’idéal de raffinement qui s’incarne beaucoup mieux à mon sens dans le toucher délicat des deux maîtres cités plus haut. Une déception donc.La notice du CD est succincte, mais récapitule les rares repères biographiques qui nous soient parvenus. Elle ne nous indique par contre pas que l’essentiel de l’œuvre de Marco dall’Aquila nous est connu par un manuscrit non autographe, aujourd’hui conservé à Munich, dont le texte est tellement corrompu qu’un véritable travail de reconstruction est parfois nécessaire, ce qui explique sans doute en partie que nous n'ayons toujours d’édition moderne imprimée de ses opera omnia, comme c’est le cas depuis longtemps pour Francesco da Milano ou Albert de Rippe.

Clumsy rendition... And the recording is good enough to allow detecting all the lutenist's (rather frequent) mishaps.